Dans le monde anglo-saxon, grandit depuis une dizaine d’années une idéologie répondant au nom de « woke » (« éveillé »). Il s’agirait d’individus ayant pris conscience d’une longue liste d’inégalités sociétales s’épanouissant dans le monde occidental moderne ; inégalités à combattre sans ménagement. Jusque-là, beau et noble programme. Malheureusement, il y a plus d’une ombre au tableau.
Des bancs de l’université aux débats de société, le Parti des Indigènes de la Républiques (PIR) a étendu son influence bien au-delà de son cercle initial. Jusqu’à devenir incontournable ?
En Belgique, les survivants d’Auschwitz ont presque tous disparu et les enfants cachés sont de moins en moins nombreux. Certains veulent que leurs enfants prennent le relais pour témoigner à leur place. Un succédané que les historiens condamnent unanimement estimant que personne ne pourra se substituer aux témoins de la Shoah.
Le 30 octobre 2020, László Trócsányi, ministre hongrois de la Justice de 2014 à 2019 du gouvernement Orban, a perdu le procès qu’il a intenté au Centre communautaire laïc juif (CCLJ) suite à un communiqué que cette organisation juive a publié pour dénoncer sa participation à un colloque universitaire sur la migration à Bruxelles.
Ancien vice-président de Barak Obama, Joe Biden représente tout ce que Trump n’est pas : un président normal. Mais son arrivée ne signifie pas pour autant un retour aux années Obama entre Washington et Jérusalem.
L’engagement communautaire fondé sur le bénévolat fait partie intégrante de la vie juive européenne depuis la fin du 19e siècle. Si ce modèle communautaire se heurte aujourd’hui à certaines difficultés et doit s’adapter aux exigences de son temps, il n’est pas près de disparaitre.
Bien qu’un vaccin soit nécessaire pour mettre fin à la pandémie de coronavirus, le complotisme des anti-vaccins se répand progressivement sur internet en touchant un public plus large et plus éduqué.
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