Aussi symbolique que politique, la visite du pape François au domicile d’Edith Bruck raconte la volonté du Vatican de se confronter aux ombres du passé.
Les Israéliens ont coutume d’interpeler chaque touriste avec cette question faussement naïve : « Tu aimes Israël ? ». Une manière de lui faire comprendre qu’il a eu tort de ne pas venir plus tôt. Le rituel paraît désuet aujourd’hui tant Israël suscite l’admiration du monde entier. Depuis l’irruption du covid-19, ce petit pays souvent au cœur des polémiques se retrouve au centre de l’attention, faisant naître tous les espoirs.
En organisant une consultation populaire pour rebaptiser le tunnel Léopold II, le gouvernement bruxellois a mis en exergue les limites de la démocratie participative.
J’ai toujours été réticent à utiliser le concept d’islamo-gauchisme, et ce, non pas parce qu’il serait d’extrême droite (ce qui est faux), mais par peur de subir les conséquences de son usage. Formé intellectuellement en France, pays qui use et abuse de la polémique, je me suis retrouvé à devoir penser (si peu) et écrire (un rien davantage) dans un pays où tout est lisse et consensuel, où toute pensée hors norme vous fait passer pour facho ou pire encore… libéral.
Ce quatrième tour de notre interminable saison électorale a débouché, comme les trois premiers, sur un match nul. De longues tractations censées accoucher d’une coalition gouvernementale vont débuter maintenant, avec de fortes chances qu’elles ne produisent rien d’autre qu’une nouvelle échéance électorale, la cinquième en deux ans. En attendant, on peut établir avec quelques certitudes cinq faits.
Ce quatrième tour de notre interminable saison électorale a débouché, comme les trois premiers, sur un match nul. De longues tractations censées accoucher d’une coalition gouvernementale vont débuter maintenant, avec de fortes chances qu’elles ne produisent rien d’autre qu’une nouvelle échéance électorale, la cinquième en deux ans. En attendant, on peut établir avec quelques certitudes cinq faits.
Alors qu’il célèbre cette année ses 120 ans d’existence, le KKL crée la polémique depuis que la presse israélienne a révélé que cette organisation riche d’un patrimoine foncier important et active dans la protection de l’environnement en Israël, aurait discuté de la possibilité d’acquérir des terres palestiniennes en Cisjordanie. Cette polémique ne laisse guère indifférents les Juifs de diaspora pour lesquels le lien émotionnel et concret à Israël s’exprime notamment à travers leur soutien au KKL.
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