La création de l’Etat d’Israël figure parmi les grandes dates de l’Histoire du XXe siècle. Le 14 mai 1948 est proclamée l’indépendance de l’Etat d’Israël. Un nouvel Etat naît au Moyen-Orient, ou plutôt l’Etat juif renaît après 2.000 ans.
Le processus de paix entre Israéliens et Palestiniens est actuellement dans une impasse totale. Pourtant, les solutions politiques devant mettre un terme définitif à ce que certains appellent désormais le plus vieux conflit au monde sont connues de tous depuis bien longtemps.
Au lendemain de l’abolition de la peine de mort en France, le thème de la pédophilie se voit développé, avec insistance, au sein de la droite populiste. Depuis les années 1970, la majorité des affaires mettant en cause des réseaux pédophiles, réels ou fantasmés, furent traitées avec un luxe de précisions dans les colonnes de la presse d’extrême droite (Minute ou de Crapouillot). Avec souvent, en arrière-plan, la question de la peine de mort et de son abolition censée avoir été la porte ouverte au libre déchaînement de toutes les perversions.
Une nation tout entière doit-elle regarder son passé en face pour mieux s’en affranchir ? Ce questionnement prend une dimension particulièrement douloureuse dans une République fédérale d’Allemagne construite sur les ruines du Troisième Reich. Ce régime criminel a entrainé l’Europe et le monde entier dans un conflit terriblement meurtrier, mais il a également poussé sa folie antisémite jusqu’à sa logique la plus destructrice en exterminant six millions de Juifs.
Shimon Peres, le dernier géant d’Israël, prix Nobel de la Paix, s’est éteint le 28 septembre 2016. Dinosaure de la vie politique israélienne avec plus d’un demi-siècle passé aux plus hautes responsabilités de l’Etat, député de façon ininterrompue jusqu’à son accession à la présidence en 2007, deux fois Premier ministre, ministre dans 12 gouvernements depuis celui de David Ben Gourion en 1959, il était le dernier des Pères fondateurs de l’Etat juif.
Née d’une révolte populaire, la guerre civile dont la Syrie est le théâtre s’accompagne d’une profusion de théories conspirationnistes en tous genres. Fait significatif, la surreprésentation des groupes ou individualités d’extrême-droite parmi les thuriféraires de Bachar Al-Assad.Pour une partie de ces derniers, le conflit peut se résumer de la manière suivante : les pétromonarchies du Golfe, marionnettes d’Israël et des Etats-Unis, expédient depuis 2011 djihadistes et mercenaires en Syrie dans le but de renverser Assad.
L'actualité israélienne dans Le Soir se résume-t-elle aux conflits et cela a-t-il des conséquences sur la perception de l'Etat hébreu en Belgique ? Par ailleurs, qu'en est-il lorsqu'il n'y a pas de conflits majeurs, comme ce fut le cas lors du premier trimestre de 2013 ? Pour tenter de répondre à ces questions, nous livrons ici une analyse comparée des quotidiens Le Soir et Libération, afin de dégager les principales tendances et comprendre s'il s'agit d'une particularité médiatique belge.
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